28/02

Seul dans la salle informatique à écouter mes mp3 de waaaaah records. A ne savoir qu’écrire mais sachant que le temps ne veux décidemment pas passer plus vite que ça, à part en allant regarder des sites porno. Mais ça ne me dit vraiment rien. Un tel froid de canard que je ne veux pas aller me promener. Hier était une journée top, c’est donc hier que j’aurais dû écrire mais comme c’était bien : j’ai pas eu la tête à ça.

Oh ! Journal, aide moi à écrire mon devoir sur les nanotechnologies, s’il te plaît.

Et oui, le retour de mon cher fardeau. Je voudrais me la jouer branleur mais j’ai trop les chocottes pour suivre cette ligne de conduite jusqu’au bout…

J’ai pourtant des fourmis de rentrer à l’appartement et de regarder la télé, la télé, la télé.  Si j’étais un bon garçon je resterais là jusqu’à 18 heures et j’irais directement chercher Delphine. Dehors les gros flocons s’agglutinent et puis voilà.

Delphine a lancé le décompte final : 8 semaines. Dit comme ça, je ne me rends pas exactement compte, comme je dis toujours : « on en rigolera, plus tard ». Vraiment hâte d’en rire. Jean-Louis m’a payé le restau-U et j’ai fait mon intéressant, mon Edouard Baer discount mais c’était bien.

Je ne sais pas pourquoi je suis maussadou comme çà. La sortie de dépression n’est pas une ligne droite.

You met a girl so long ago

Now we can’t stand to see you anyway.